Histoire courte d’une nuit de soumission

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il y a 4 ans

Histoire courte d’une nuit de soumission

Il lui arrivait parfois d’être un peu brusque avec elle lors de leurs rapports sexuels. Elle était habituée aux petits sévices qu’il lui faisait subir. Cependant, elle ne s’attendait pas à ce qu’il profite de cette nuit à l’hôtel pour la faire complètement sienne… Sa chambre allait bientôt devenir sa prison, sa maison de t o r t u r e .

Comme il le lui avait demandé, elle s’était douchée avec minutie et attendait tranquillement qu’il lui dicte la position à prendre. Sans hésitation, il inséra rapidement deux doigts dans sa chatte et constata qu’elle était déjà prête à être défoncée. Et bien non, elle allait d’abord devoir comprendre à qui ce corps appartenait vraiment!

Il la fit se lever et écarter les jambes. Il lui noua les poignets dans le dos. Avec une corde de nylon qu’il avait dissimulée dans ses bagages, il lui ficela solidement les seins de manière à ce qu’ils soient bien pointés et offerts aux supplices qu’il avait imaginés. Elle sentait que, déjà, son corps ne lui appartenait plus, qu’elle allait en voir de toutes les couleurs! Comment faire pour échapper à ce calvaire? En même temps, elle comprenait qu’elle devait se montrer docile si elle ne voulait pas qu’il s’emporte trop…

De ses seins, il fit descendre les cordes vers son entre-jambe, prenant bien soin de les passer bien solidement entre ses lèvres. Le moindre mouvement allait ainsi lui meurtrir les chairs. Elle dût ensuite s’installer: il la fit coucher à plat-ventre sur le tapis et remonter ses genoux vers son ventre. Elle donnait ainsi une vue imprenable de son postérieur à son b o u r r e a u . Et vlan! Un premier coup de fouet, suivis de nombreux autres! Il prenait tant de plaisir à faire rougir ces fesses offertes à son bon vouloir! Il se sentait devenir de plus en plus excité à l’idée qu’il dominait omplètement sa femme. La blancheur de son derrière était chose du passé!

Après l’avoir obligée à bien le sucer, il lui délia les poignets et lui ordonna de se coucher sur le dos en position d’offrande. N’était-il pas le principal propriétaire de ces trous de plaisir? Pour être certain qu’elle ne se mette pas à hurler, il la bâillonna. Elle lui obéissait avec crainte, tout en ne pouvant pas s’empêcher de mouiller…

Il s’attaqua alors à ses mamelons. Il les pinça et les tritura avec ses doigts. Il les foueta aussi abondamment. Il compléta finalement ces sévices par la mise en place de pinces judicieusement positionnées. La douleur était insupportable, mais elle n’y pouvait rien, car il avait aussi attaché chaque poignet à chacune de ses chevilles, de chaque côté de son corps. Elle était prise au piège, se savait en position ridicule. Et sa vulve qui continuait tout de même à mouiller, telle une invitation à poursuivre plus loin ce cauchemar éveillé!

Brusquement, elle le sentit s’enfoncer en elle. Il entreprit un va-et-vient vigoureux qui lui fit croire qu’elle allait jouir. Il la détacha ensuite et la fit asseoir les jambes bien écartées, les fesses au bord du lit. Des épingles furent bientôt installées sur ses grandes lèvres. Il se dit alors qu’il fallait finir le tout en beauté. Il lui lubrifia donc l’anus sans plus tarder. Il l’invita alors à venir s’asseoir sur son manche dressé. Elle se dit qu’elle allait au moins pouvoir contrôler l’insertion de celui-ci dans son si petit trou. Ses seins la faisaient souffrir. Et pourtant, le supplice n’était pas terminé! Alors qu’elle montait et descendait, il lui enleva une à une les épingles qui lui martyrisaient les mamelons. L’enfer! Et il se permit en plus de les lui frôler de ses doigts1! Il palpla ses deux boules qu’il avait fait bleuir… Et comme son anus était bon, tout serré et bien chaud! Sentant qu'il allait éclater, il lui permit enfin de toucher à son bouton de plaisir afin qu’elle puisse jouir en même temps que lui. Elle pouvait bien avoir un instant de bonheur après tous les maux qu’il lui avait fait vivre. De toute façon, elle allait le payer cher une prochaine fois…

Nancy

Voilà un Maître bien sévère. Merci du partage
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